L’écriture est un incendie qui embrase un grand remue-ménage d’idées et qui fait flamboyer des associations d’images avant de les réduire en braises crépitantes et en cendres retombantes. Mais si la flamme déclenche l’alerte,…
Car écrire c’est brûler vif, mais c’est aussi renaître de ses cendres.

Blaise Cendrars, dans la préface de L’homme foudroyé, 1945

Un reste des couleurs de Cendrars et de Modigliani en 1917

Il paraît qu’il a déraillé et que personne ne pige couic à ce qu’il fait, mais que l’on rigole.

Blaise Cendrars, L’homme foudroyé, 1945

Et que pouic, que dalle, peau de balle, rien, nada, nix, nofingue, zéro, rin eud’ rin, nib de nib, walou, pas une miette, que du vent, bernique, un poil, des clous, une goutte, peau d’zéb & d’zob… Elle perd le rail de neige dans le transsibérien, la femme foudroyée en 2017, mais elle rit, elle rit…

 

 

 

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