Plaisir de la matinée, La révolte des pierres de Léon Groc dans son édition des années 1930 sous une couverture percutante de Jean-Adrien Mercier. On le trouve plus tard sous le titre Une invasion de Sélénites.

Heureusement, les textes existent pour apaiser mon quotidien, mais aussi pour prouver chaque fois la simplicité de ma certitude : sans tous les artistes au cours des siècles, le livre n’existerait pas, la littérature n’existerait pas, l’art en général n’existerait pas. Ce simple constat, élémentaire, suffit pour établir l’unique base possible qui exige le respect des droits des auteurs au lieu de les abuser par n’importe quel moyen aux dépens de la création.

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