Joseph a depuis toujours accompagné mes enthousiasmes et mes doutes intellectuels, nos discussions et nos fous rires ont alimenté sans cesse notre amitié et nos réflexions. Nous avons partagé nos utopies pendant que nous marchions, jamais loin l’un de l’autre, dans la même direction. Un long voyage qu’il abrégea malgré lui ; je perds sa présence, mais rien du chemin parcouru avec mon ami.
Joseph Altairac, portrait-garage à la Hammer, 4 septembre 2016Images des coulisses du grand film l’Invasion des Profanateurs de cartons, 2012 et 2016.
Champion du café, amateur de bières, inconditionnel de moules/frites du plat pays.
5 Septembre 2020Un café, expresso, allongé, double, mais un café.
« Est-ce que tu connais [remplir par un sujet de préférence obscur] ? Je pense que cela t’amuserait beaucoup. » — colorisation maladroite d’une photo de 1995, réalisée quelques années plus tard pour un site baptisé Rue du carton, disparu depuis longtemps.« J’aimerais te montrer… »
Profil d’un érudit, étude du double cerveau.
RétroFictions, 2 septembre 2018.
Lire, la joie des livres.
La joie de les offrir. (colorisation d’après un cliché de S. Minne)
La joie d’arpenter les librairies et de retrouver ses compagnons de l’univers.
Joseph, tu rêves.« Toi aussi, Christine. »
Les rêveurs ne meurent jamais dans les rêves de leurs semblables, je continuerai, promis.« Arrête de mitrailler, tu te souviens que l’expo Gus Bofa nous attend ? »
Avec une pensée affectueuse à ses proches.
2 réactions à “Portraits en mémoire de Joseph Altairac”
Je vais essayer de dire que le connaissant mal sans doute pour l’avoir peu rencontré tes images et leurs brèves « légendes » le rendent singulièrement aimable. Merci!
Je vais essayer de dire que le connaissant mal sans doute pour l’avoir peu rencontré tes images et leurs brèves « légendes » le rendent singulièrement aimable. Merci!
Merci, Noé, pour ton message ici.