– journal de bord d’une orpheline en bout de
Dix-neuf mil et quatre cent vingt-neuvième jour
Âmes anonymes de la poésie, je résiste aux vers depuis vingt-trois nuits et trois orages. Le dernier fut un naufrage, mais j’ai perdu les o pour l’amur des mts.
Par ailleurs, j’assure le débit d’âneries ! (phrase garantie sans eau)
page.
Épilogue
J’ai cessé l’abstinence, la vie sans os ne tient pas debout.