Cet extrait du poème À Sergueï Essenine répondait en 1926 aux strophes écrites avec son sang par Essenine, avant son suicide. Le géant Maïakovski domine alors le monde, empli de forces créatives, croqué ici par Adolf Hoffmeister en 1927. L’histoire continuera tragique, mais la joie demeure.
(Note : la traduction de l’extrait est littérale)