Une douceur rien que pour Les papillons géomètres : une belle surprise que me réserve ce soir Nicolas Le Breton, de celles qui vous éclairent une soirée comme une lampe dans le jardin.

En quelques mots : c’est un roman volontairement lent, littéraire, qui m’a enchanté de ses descriptions — parce qu’après-tout, mettez-vous à la place d’un esprit jeté dans l’outre-monde : ne seriez-vous pas délicieusement charmé de redécouvrir le moindre détail, s’il vous était donné d’effleurer de nouveau votre vie d’avant, votre vie humaine ?

La chronique me touche, évidemment, Nicolas Le Breton est un grand connaisseur des mondes de l’occulte et une belle plume de l’aventure étrange.
La suite de la chronique est à lire sur son blog d’écrivain et conférencier, Fatras et Alambics, et découvrir par la même occasion le fameux Orateur Noir de Lyon, ses œuvres et ses mystères.

Le final, à ce titre, est une merveille (le téléphone, le téléphone !)

J’ai éclaté de rire : oui, nous sommes bien branchés sur la même ligne, camarade ! Merci, Nicolas !

Les papillons géomètres, Les moutons électriques

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