Retour dans le temps et flashback du 6 juillet :
Alors là ! O________O !!!
Muette de stupéfaction.
Un peu plus tard :
« Je suis abasourdie, vraiment, et confuse. En tout cas, une chose est sûre : je remercie beaucoup toutes les personnes qui ont voté pour les Papillons. C’est une formidable surprise, de ce côté-là, c’est très réussi !«
Et aujourd’hui, je noue un coin de mouchoir pour le souvenir valable sans date de péremption :
« Les grosses cloches sonnent à midi (répétez plusieurs fois le plus vite possible, ça fait toujours rire), la bonne heure un vendredi 13 pour signaler que samedi 21 juillet, je viendrai remercier à la Convention française de SF/Eurocon 2018 (Amiens) les votant.e.s du premier tour au Prix Rosny aîné (je fais gaffe aux majuscules, j’ai un ami qui ne loupe pas les pâtés d’encre) et subjuguer de mon regard hypnotique la relève du deuxième tour afin qu’elle en fasse autant, ça marchait bien pour l’Arpenteur ; sait-on jamais avec la suspension d’incrédulité.
En bref, je déplace ma tour pour défendre l’étendard de ma maison d’éditions, l’oriflamme de mon graphiste et toute la piétaille de mots contenus dans mon roman…
En clair, Les Moutons Électriques, Melchior Ascaride et Les papillons géomètres.
…et puis, parce que je n’en rate pas une pour m’étaler, je n’hésiterai pas à ramener mes dernières folies collectives chez Flatland, Le Novelliste et Quand l’amour déraille. Peut-être aussi les plus anciennes commises chez Bibliogs et Le Carnoplaste. En tout cas, j’aurai grand plaisir de causer de mes lectures et écritures parmi les mille choses qu’on peut se raconter lors d’une convention si mes souvenirs sont exacts. Hey, c’est un revival à la Dumas : Vingt ans après et je connais une belle bande de mousquetaires. »