Quand la nuit je quitterai la demeure
nomade on naît, nomade on meurt
j’emporterai pour le dernier logis
mon arbre houx et sa magie
Et mon bagage ouvert comme une image
pendra son visage univers
à la fenêtre un joli paysage
et moi clouée sur l’horizon
Alors je m’écrierai ver solitaire
—  L’uni vert est rouge à la belle saison !

 

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