Le dimanche après-midi, alors que mon doppelgänger s’évanouissait après avoir hanté table ronde ou carrée les jours précédents, le moi usuel signait en joyeuse compagnie au stand des Indés de l’imaginaire. La journée belle et tiède réduisit l’afflux des visiteurs, envolés dans des promenades en plein air, on ne leur reprochera pas d’avoir profité du printemps apparu soudainement. L’équipe avait le sourire et les avions en papier fusèrent sur les militaires égarés.
Quelques photos :
La Cène des auteurs.








