1er mai 2019 à Arras, un joli jour festif pour les travailleurs et travailleuses, et pour les livres.
Ce salon est éminemment sympathique, l’occasion de bavarder agréablement avec pas mal de monde. Comme au stand des éditions Nada que je visite systématiquement pour m’offrir un de leurs livres toujours tentants, cette année une bio dessinée de Frehel, superbe. Quelques rencontres imprévues : un libraire spécialisé dans les mauvais genres, sympathique, ou découvrir Tanx à une table et la remercier en direct pour sa participation à SOS Terre et Mer, et en profiter pour lui faire dédicacer son chouette petit bouquin, Dicon.
Et puis discuter avec les militants, ramasser un tas de tracts, signer avec un stylo « en vrai » quelques pétitions, acheter un journal du coin, La Brique, dont la une est souvent une belle compo illustrée, etc.
Ciel bleu brumeux, des oiseaux, une champignonnière blanche a poussé sur la place et attire de nombreux visiteurs, l’imprimé à la main.
Le quartier des stands politiques et humanitaires, la météo est favorable, les drapeaux flottent fièrement au-dessus des toiles.
Les affiches, les graph’, les tags, les fresques et les amateurs, jeunes et vieux.
Entrée libre pour les débats, les premiers assis, les derniers debout (les vivants !)
Le Pinson-Charlot, les tableaux d’expo d’un genre ornithologique imprévu, sérieux mais qui ne se prennent pas au sérieux, attirent la curiosité des ados.
Rencontre avec Tanx, une artiste de talent qui n’avait pas hésité à rejoindre l’équipe de SOS Terre et Mer.
Et puis des livres, partout, dehors et dedans, et des lecteurs, évidemment.
